Vous vous rappelez de l’annonce du « meilleur job du monde »?

Une campagne publicitaire cherchait à recruter un gardien d’
une île paradisiaque en Australie. Gros succès : des milliers de jeunes avaient postulé. Cette fois, c’est l’agence de voyage qui se prête au jeu en finançant un voyage autour du monde à celui qui amènera le plus de personnes à sa « bucket list », la fameuse liste de souhaits à réaliser avant de mourir.

6 mois, 6 continents, 25 destinations :

Faire le tour du monde est le rêve de tous. Encore faut-il en avoir les moyens. Il y en a des sites dédiés aux séjours tout frais payés partout dans le monde vous propose de voyager sans rien débourser et même de finir les poches pleines, tout en ayant parcouru les plus beaux sites de la planète et en cochant une après les autres les choses de votre Bucker List: ce que vous aimerez faire avant de mourir. Le gagnant « devra » faire au moins 25 destinations, deux dans 5 continents pendant 6 mois. Pour cela, il aura a disposition un budget de 35.000 EUR pour payer les frais qu’il aura à couvrir au cours de son voyage : transports, logements, alimentation.. Il aura aussi à disposition des « experts » qui lui aideront à compléter sa Bucket List: voir un match de football au Camp Nou, se promener sur Sunset Boulevard, danser le tango à Buenos Aires ou visiter les plateaux de Bollywood…

Mais alors que faut-il faire pour être le grand gagnant ? Il faudra simplement créer une vidéo qui donnera au public l’envie de visiter une destination. Il faudra également rédiger un article sur une expérience vécue au cours d’un voyage. Les 5 participants qui auront récolté le plus de likes et partages sur Facebook. Une dernière session de votes en ligne désignera les trois finalistes.

Les amateurs de triathlon vont être ravis. La marque Specialized vient de sortir une innovation qui leur est directement adressée.

Le modèle en question est le S-work Shiv, et il s’agit, tenez-vous bien, d’un vélo hydratant ! Il a été conçu spécifiquement pour le triathlon, puisqu’il respecte les règles de l’union cycliste internationale (UCI). Le vélo est entièrement en carbone, il est donc extrêmement léger et il a été spécialement conçu pour que le coureur ne perde rien de l’aérodynamisme lors de l’hydratation.

En effet, il est équipé, et c’est ce qui fait tout son intérêt, d’un réservoir à eau dans le cadre. Ce réservoir est lui-même muni d’un flexible aimanté au guidon, permettant ainsi de s’hydrater sans avoir besoin de bouger vraiment les bras ni de se relever. Le coureur ne perd donc ni son aérodynamisme, ni son rythme de pédalage. Plus besoin non plus de porte guidon.

Le réservoir d’hydratation présent à l’intérieur du guidon a une contenance d’un litre, ce qui permettra aux coureurs d’effectuer de grandes distances sans avoir besoin de s’arrêter pour reprendre un bidon.

Lors de l’installation du réservoir d’hydratation à l’intérieur du cadre, veillez surtout à ne pas faire de plis sur le sac, ou vous pourriez perdre en contenance. Avec un tel vélo, si pratique, si léger et si aérodynamique, c’est sûr vous aller gagner tous les triathlons. Ou en tout cas vous vous positionnerez bien à l’issue de la partie vélo de cette épreuve si exigeante.

Avec un tel vélo, et une telle innovation, la marque on montre qu’elle figure au premier plan des marques de vélos de courses. Elle montre en effet qu’en termes de recherche et développement, elle n’a rien à envier à personne.

Le fait de sortir une telle gamme de vélo prouve que cette marque réserve sûrement encore de belles choses pour l’avenir, et tous les amateurs de vélos sauront apprécier à sa juste valeur cette perspective positive !

En cette fin d’été, il est bien normal d’avoir envie de profiter des derniers rayons de soleil, en faisant par exemple une petite balade à vélo en campagne ou même encore en se rendant au travail à vélo. Le problème, lorsqu’on est un cycliste du dimanche, c’est que parcourir des kilomètres et des kilomètres peut vite devenir très fatiguant.

C’est pour cette raison que de plus en plus de cyclistes urbains opte pour la solution du vélo électrique. Malheureusement, en général, ces vélos coûtent très cher et ne peuvent être qu’une demi solution. En effet, si on ne veut plus de la propulsion électrique pour faire un travail plus physique, la batterie, l’emplacement de la batterie et le moteur chargent le vélo d’un poids inutile.

Si, en plus, vous avez déjà un vélo, qu’il fait encore l’affaire et/ou que vous y êtes attaché, vous pourrez vous épargner l’effort financier d’acheter un vélo électrique.

Comment ? Grâce à l’invention Rubbee, un projet kickstarter venu du Royaume-Uni. Ce nouvel objet est en fait un moteur adaptable à n’importe quel vélo standard, et même sur les vélos tout suspendus.

Alors oui, les kits permettant de transformer n’importe quel vélo en vélo électrique existent déjà… Ce qui fait cependant tout l’intérêt du Rubee, c’est qu’il se fixe sur la tige de selle, et qu’il développe sa puissance directement sur le pneu arrière.

Contrairement à ses prédécesseurs, compliqués à installer, qui se fixaient au niveau du moyeu de la roue, et qui nécessitaient en fait souvent un changement des roues, il est très facile à installer et à retirer. L’ensemble moteur/batterie, qui repose sur et entraîne la roue arrière par friction grâce à un système de galet, ne pèse que 6,5kg.

Le charge complète de la batterie ne dure que deux heures, et elle vous offrira une autonomie de 25 km. Vous pourrez atteindre une vitesse 25km/h.

Rubbee n’est malheureusement pas encore en vente. Pour lancer vraiment le projet et la production, les inventeurs cherchent encore des fonds via la plateforme Kickstarter. Rubbee devrait en définitive être commercialisé à un prix de £699.

Ce vélo électrique tout terrain n’est pas un projet de la NASA, mais son concepteur (Dan Hanebrink) en est issu. Il l’a dans un premier temps imaginé à l’occasion d’un mission dans l’arctique. Il l’a ensuite adapté pour pouvoir le commercialiser au grand public. Il peut aller à une vitesse maximale de 20 km/h et 65 km/h si vous pédalez avec une autonomie d’une heure, pouvant aller jusqu’à 6 heures si vous équipez votre vélo de 5 batteries Lithion. Le prix du Fortune Hanebrink peut varier de 3500 à 6000 euros selon les options choisies.

C’est l’un des derniers vélos électriques, mis au point et perfectionné pendant 10 ans, et aujourd’hui parmi les plus innovants, si ce n’est le plus innovant, le Fortune Hanebrink est en plus de fabrication américaine. On évite ainsi les pièces chinoises de qualité parfois douteuse.

Au début on peut penser que ce vélo est uniquement destiné à rouler sur le sable et dans la neige, mais en fait pas du tout, il est beaucoup plus multifonction et peut notamment devenir un excellent moyen de faire quotidiennement le trajet boulot-dodo.

La fabrication

Fortune Hanebrink produit les enjoliveurs et roues avec en tête l’objectif de limiter au maximum le poids. La roue ne pèse ainsi que 453,93g et le pneu peut ne peser que 1kg 360.78g, tout dépend du pneu que choisit le client.

Le système du moteur est très silencieux et fluide et quand il n’est pas en marche, le vélo roule comme un vélo « normal ».

S’il est si cher, c’est parce qu’il est produit et assemblé presque entièrement aux Etats Unis, et qu’il est produit en petites séries. Fortune Hanebrink produit les cadres et les composants sur mesures.

Le Hanebrink est doté d’un double moteur, pour la neige et le sable, et pour la montagne. Excepté en ville, le Hanebrink bat tous les autres vélos électriques en termes d’efficacité.

Pourquoi est il si large ?

Le Hanebrink est large car il faut à la fois pouvoir mettre les pneus très larges qui lui donnent toute son efficacité une fois sorti de la ville et pouvoir placer le double moteur.

Un autre avantage de ses pneus très larges, le Hanebrink peut rouler sur de l’herbe fraîchement coupée sans infliger aucun dégât. Il est donc par exemple très pratique pour tirer le caddy de trou en trou.

Le Hanebrink est donc très cher, plus cher que ses « concurrents » mais toutes les attentes sont amplement satisfaites. C’est un vélo unique, en rien comparable aux autres vélos présents sur le marché.

Préparez vous à dépenser l’argent que va vous coûter ce vélo vraiment tout terrain. Le prix est difficile à avaler, mais la suite, une fois le vélo acheté, ne vous décevra jamais.

On aime les vélos certes, mais on apprécie tout particulièrement les vélos insolites, les vélos design et tout ce qui peut tendre à rendre notre bonne vieille bicyclette la plus originale possible. Un studio de design français basé à Strasbourg, Boltz & Saos a crée un vélo fixie urbain en bois : le Wood.b .

Le cadre du vélo est en acier et en bois. Ses roues en 28 pouces et ses freins à rétropédalage en font un magnifique mélange entre fixie et vélo Hollandais .

Pour le moment on n’a pas d’informations quant à son prix et son poids, mais cela ne devrait pas tarder.

Danny MacAskill, le trialiste VTT Ecossais, qui a d’ailleurs réalisé les cascades du film Premium Rush dont on parlait dans un précédent article, revient avec une vidéo intitulée « Imaginate ». Cette fois on entre directement dans l’esprit du rider l’on découvre un parcours qu’il aurait imaginé étant jeune. Il réalise des figures plutôt impressionnantes ou on peut notamment le voir sauter de crayons en crayons, ou alors s’amuser avec ses jouets en plastiques et cela toujours au guidon de son VTT bien sûr.

Votre vélo est victime d’une crevaison ou d’une casse mais vous ne savez pas ou effectuer les réparations ? Ou vous n’avez tout simplement pas les outils adéquats ? Les ateliers vélo participatifs, sont de plus en plus nombreux en France et sont un bon moyen pour apprendre à réparer soi-même son deux-roues.

En France, on dénombre environ une centaine d’ateliers participatifs. Ce chiffre est en constante augmentation. A titre de comparaison, on n’en comptait que six en 2005. Le réseau des ateliers vélo participatifs et solidaires, en 2013 ils représentent 25 000 utilisateurs, un millier de bénévoles et 80 emplois.

Un vélo demande un minimum d’entretien et souvent par manque de connaissances ou de motivation, il est difficile d’effectuer les réparations soi-même. Un atelier est donc le lieu idéal pour devenir un mécanicien en herbe. En effet, c’est un bon moyen pour entrer en contact avec des passionnés et ainsi obtenir de précieux conseils. De plus tous les outils sont mis à disposition. En cas de pépin technique, il est également possible d’acheter des pièces d’occasion (cadre, roue, guidons, dérailleurs…) et d’effectuer tous les réglages nécessaires pour arpenter le bitume .

Assurément, un atelier en plus d’être participatif, se veut écologique ou la « récup » est de mise. Le but est de remettre en service des vieux vélos laissés à l´abandon, au coin d’une rue ou provenant directement de la fourrière. Les vélos ainsi trouvés (entre 12 000 et 15 000 vélos sont traités chaque année), sont réparés et mis en ventes. C’est d’ailleurs cette source de revenu qui, en général, permet à ces associations de fonctionner.

Les ateliers vélo, en plus de vous permettre de réparer votre bicyclette à moindre coût, sont de véritables lieux d’échanges et de rencontres.

Certaines associations sont gratuites ou ne demandent qu’une petite participation sous forme de bénévolat, d’autres seulement quelques euros pour une adhésion annuelle.

Le Runbike est un vélo pas tout à fait comme les autres. En effet, pour le piloter, une position debout est obligatoire puisqu’il n’a pas de selle. A l’instar d’un vélo fitness, il est conçut pour parfaire sa condition physique et son équilibre.

Le Runbike est équipé d’une roue arrière de 28 pouces et d’une roue avant de 20 pouces et de deux vitesses. Pour diriger ce vélo, qui s’apparente à la fois a un BMX et un VTT, il faudra utiliser tout son corps pour avancer car son centre de gravité plutôt bas, impose de toujours être en mouvement. Autre avantage, il tient dans un sac et est donc facilement transportable, dans les transports en commun par exemple. Il est donc idéal si vous souhaitez faire du fitness en extérieur.

Planète D, c’est le monde de Delphine et Damien, deux aventuriers dans l’âme qui ont décidé de vivre une vie pas comme les autres. Tout a commencé il y a 8 ans, lorsqu’ils sont partis pour la première fois sur les routes à bord de leur tandem avec comme bagages le strict nécessaire. À deux et sur deux roues, ils ont fait le tour du monde, et rien ne les a fait rebrousser chemin, pas même les accidents de parcours déroutants.

Une belle odyssée aux quatre coins de la planète

Partis de Grenoble, ils ont d’abord traversé les Pyrénées puis se sont retrouvés de l’autre côté de l’Atlantique. De l’Argentine à la Nouvelle-Zélande, du Tibet aux Balkans en passant par l’Asie du Sud-est, ils ont parcourus 4 continents, sont partis à la découverte de cultures tant diverses qu’attrayantes et ont vécu toutes sortes de péripéties qu’ils racontent avec passion.

Des récits d’aventure pleins de poésie et d’humour

Ces deux jeunes sportifs nous font part de leurs expériences dans leur livre Le Grand Détour et dans une série de films nous faisant voyager avec eux. Se plaçant à l’encontre des normes sociales actuelles, ils prônent le bonheur simple et se dévouent pour l’aide humanitaire et la protection de l’environnement. Une vraie leçon de vie qui nous fait réfléchir et repenser nos priorités.

Sur les plateformes de financement collaborative, beaucoup de nouvelles idées design et pratique pour votre vélo voient le jour. Cette semaine , ce sont des garde-boue revisités qui ont retenu mon attention.

En effet, deux projets sont actuellement en cours de financement.

Le premier : le Musguard est un garde boue prenant la forme d´une feuille de plastique en polypropylène. Il se fixe sur le cadre de votre vélo. Il existe en plusieurs coloris et est flexible ce qui permet de l´enrouler lorsqu´on n´en a plus l´utilité.

Car il est vrai que fixer un garde-boue n´est pas une tache difficile en soi mais un garde-boue amovible permet d´adapter son vélo rapidement en fonction de la météo. Un gadget inventé par le designer Jurij Lozic, plutôt malin, pratique et très léger puisqu´il ne pèse que quelques grammes et peut donc se ranger facilement dans un sac ou une poche.

Le second garde-boue, toujours proposé et déjà financé, est plutôt similaire au Musguard. En effet, il fonctionne de la même manière puisqu´il s´enroule. La différence est que le « Plume » se fixe sur la tige de selle. Il est donc placé beaucoup plus haut ce qui devrait le rendre moins efficace.

Vous aimez faire du vélo, mais vous n’aimez pas mettre votre vie en danger pour autant ? Vous voudriez vous protéger avec un casque par exemple, mais ceux en vente sur le marché ne sont pas à votre goût ? Vous leur trouvez une allure bien trop sportive pour vouloir vélotafer avec ? Pourquoi, donc, ne pas allier style et protection ? Pourquoi ne pas créer des casques, qui soient à la limite mettables comme chapeau ou casquette lambda ? Il fallait pour créer pour cela une gamme de casques habillés.

C’est exactement la réflexion que se sont faite les créateurs de Yakkay. Pour tous les amateurs de vélos de ville, il fallait des casques avec lesquels on n’a pas l’air ridicule quand par exemple on porte un costume ou une jolie robe.

En réalité, à la base, ces casques ne sont pas si différents de n’importe quel casque de BMX. Ils en ont la forme et l’aspect. Ils sont également aussi confortables que n’importe quel casque. Seulement, une fois rajouté la pièce imaginée par Yakkay, votre casque sortira à coup sûr de l’ordinaire et vous procurera un style incroyable. Une fois le casque assemblé au tissu, votre casque ressemble plus à un chapeau qu’à un casque.

Si Yakkay a été fondé au Danemark, il ne faut pas y voir une coïncidence. Le fait que les danois font partie des peuples qui aiment le plus le vélo et le « design » a inspiré un groupe de designers danois en vogue qui ont par la suite créé cette entreprise.

On espère que Yakkay saura non seulement convaincre les utilisateurs, mais aussi ouvrir la voie pour d’autres combinaison entre esthétique et vélo.

Voulez souhaitez planifier une course à pied, une randonnée, un circuit à vélo ou une simple balade, mais vous n’avez pas d’idées de parcours intéressants ? On propose de panifier des itinéraires en toute simplicité. Grâce au catalogue IGN, qui propose des cartes numériques, vous pouvez tracer le parcours de votre choix en indiquant un point de départ et d’arrivée.

Vous pouvez également adapter votre itinéraire grâce aux informations plus techniques indiquées, comme la distance, la topographie, votre vitesse ou votre dépense en calorie et la durée de la balade estimée. Vous avez donc la possibilité de personnaliser votre circuit de manière assez précise, en fonction de vos performances et de votre degré de motivation. Si vous n’avez pas d’idées concernant un éventuel tracé, une option « Rechercher un parcours » existe et vous propose automatiquement différents parcours, en fonction du type de sport, de votre département et de la distance à parcourir.

Pour les plus mordus, il est possible d’importer un parcours à partir de vos fichiers au format GPX ou TCX, crées par votre GPS.

Maintenant vous n’aurez plus d’excuses pour laisser votre vélo au fond de votre cave.

Attention, quand on a écrit « boire et faire du vélo électrique », il faut comprendre plutôt « déguster ». On propose de louer des vélos électriques et de visiter des vignerons des différents domaines, dans la région du Languedoc-Roussillon, situés au nord de Montpellier, au pied du Pic Saint-Loup. Cette balade familiale accessible à tous, au cœur de paysages splendides, permet d’aller au contact des producteurs et bien sûr de déguster les vins.

Une fois équipé de votre VTT à assistance électrique, élancez-vous à travers les vignobles,  parcourez le territoire en empruntant les routes et les chemins et découvrez les curiosités alentours, grâce aux parcours spécialement étudiés pour l’occasion. Des arrêts sont prévus afin de permettre de  déguster des vins et pourquoi pas de repartir à la fin du périple, avec sa propre bouteille, bien méritée.

Il existe un forfait à la demi journée, qui comprend bien entendu la location du VTT électrique , la carte des environs et les dégustations. Pour les plus sportifs la location à la journée est tout à fait possible. Des tarifs de groupe sont également disponibles.

On appréciera le concept qui allie de façon maline nature, sport et terroir.

La plateforme de crowfunding ou financement collaboratif Kickstarter, propose une fois de plus un projet intéressant et ludique qui illumine votre vélo. Monkey Light Pro est un objet composé de plusieurs LED (256 au total) qui se fixe sur les roues de votre vélo est permet d’afficher des animations par le biais d’une application smartphone.

Six personnes travaillent actuellement sur ce projet et cela depuis deux ans et ont déjà vendu une centaine d’exemplaires à travers le monde.

Ce projet est toujours en cours de financement et n’est donc pas prêt d’atterrir en magasin. Mais il sera possible de commander un exemplaire pour un prix de 1000 euros environ.

L’application Monkey Light Pro vous donnera la possibilité de choisir une animation parmi d´autres, qui s’activeront automatiquement une fois les 15km\ atteint.

Le Monkey Light Pro est constitué de quatre branches à fixer sur les rayons de votre roue et s’adapte à différentes tailles de jantes : 26″, 27″, 28″, 29″. Plus de 10 artistes ont été sollicités pour la création des animations et si le projet s’avère rentable et remporte un certain succès, d´autres devraient voir le jour.

Après le projet Revolight dont on a parlé dans un précédent article, et même si certains trouveront ces animations un peu trop voyantes, ce projet a le mérite de donner un petit coup de projecteur amusant sur la pratique du vélo.

A travers toute la France, et cela pendant deux jours, le vélo est à l’honneur, des centaines d’associations ou des clubs proposeront ce week-end, événements sportifs, animations, démonstrations, expositions, etc. La fête du vélo s’adresse aussi bien aux sportifs qu’aux enfants ou même aux personne âgées.

Depuis 1996, cet événement qui rassemble des centaines de bénévoles proposera plus de 1 000 animations dans plus de 400 communes et devrait réunir quelques 500 000 participants sur tout le territoire.

Cette année, la Fête du Vélo aura pour thème : « Le vélo ça rapproche ! ». Le vélo est un vecteur de lien social, mais il rapproche également l’homme de la nature et de son propre corps puisqu´il demande un effort pour se rendre d’un endroit à un autre. Il permet de découvrir ou de redécouvrir des paysages, sa région, sa ville ou plus simplement son quartier, ce qui parait plus difficile en voiture.

Un guidon hi-tech et esthétique avec lumière LED intégrée, clignotants , compteur, GPS, le Helios Bars est un projet lancé sur Kickstarter, cette plate-forme collaborative qui permet à chacun de présenter un projet de le mettre en ligne et de faire appel à des donateurs pour le financer.

Cette idée née de l´esprit du californien Kenny gibbs, si elle est entièrement financée, devrait permettre une première production afin de le commercialiser, bien que plusieurs prototypes existent déjà. Le créateur a lancé une vidéo qui montre ce guidon d´un genre futuriste en action.

Pour ce qui est des fonctionnalités proposées, un détecteur changera la lumière des LED arrières en fonction de votre vitesse. Rouge pour une faible vitesse et bleu lorsque celle-ci dépasse les 40 km\h.

Une application Smartphone a même été crée pour l´occasion et proposera plusieurs interactions comme par exemple gérer les éclairages et les changer en fonction de la couleur de votre cycle, mais également de suivre votre vélo en cas de vol, et de jouer les copilotes en indiquant les obstacles à venir.

Les créateurs sont partis plusieurs mois en Chine afin de démarcher des entreprises et de finaliser la mise au point de leur prototype.

Pour le moment , l’Helios Bars est disponible en blanc et noir pour 199 $.Pour un cadre en couleur, il faudra compter 249 $.

Un point négatif malgré tout, on n´a toujours pas trouvé la sonnette intégrée.

Les caractéristiques du Helios-Bar :

Le ministre délégué aux Transports Frédéric Cuvillier, afin de promouvoir la pratique du deux roues, a proposé de mettre en place une aide financière qui s´adresserait aux salariés se rendant au travail en vélo.

Une prime kilométrique serait à l´étude au gouvernement, qui a réuni afin de réfléchir à sa mise en place, un comité de 35 membres issus des ministères, associations, collectivités territoriales et du Parlement. Aucun montant n´est pour le moment précisé, mais les « velotafeurs » comme on pourrait les nommer, bénéficieraient d´une prime versée par l´employeur au delà d´un parcours de 1,5 kilomètres.

Une autre idée pour inciter la pratique de la bicyclette au boulot, serait que les employeurs fournissent à leurs salariés un vélo de « fonction » plutôt que de verser une prime. C´est le cas par exemple en Belgique (0.22 € du kilomètre pour les salariés qui vont au travail à vélo) ou en Grande Bretagne par exemple où certaines entreprises mettent à disposition des vélos sous forme de prêt avec option d´achat. Ainsi, le salarié peut faire l´acquisition d´un vélo à moindre coût.

En France également, des employeurs proposent de rembourser par exemple des abonnements de location (vélib). C´est déjà le cas pour certaines entreprises pour les trajets domicile-travail concernant les frais de transports (en commun).

En plus de cette prime, ce plan vélo aura pour but de réfléchir sur l´aménagement des infrastructures, la sécurisation des voiries, etc.

Bref ! Il existe une multitude de solutions et il faut avouer qu´il est plus agréable de venir travailler à vélo plutôt que de subir le métro aux heures de pointe non ?

L’Anjou Vélo Vintage du 19 au 22 juin débutera Place Michel Debré à Angers et proposera plusieurs parcours en plein cœur des Pays de la Loire. Cette course, la troisième édition, regroupe à chaque fois toujours plus de participants.

Le parcours Découverte, de 35 km , s´étend du château de Saumur à celui de Montsoreau. Il est idéal pour visiter la région, s´arrêter quelques minutes pour visiter les troglodytes , admirer le paysages angevin, goûter le vin ou de déguster une fouace, spécialité qui consiste en une petite boule de pain fourrée aux rillettes. Mais on peut en trouver de différentes sortes.

La balade de 46 km, sera un peu plus vallonnée et proposera également dégustations et visites avec entre autres celle du château de Brézé.

Le dernier parcours : la Rando s´adresse cette fois-ci aux sportifs. Des caves cathédrales des Perrières en passant par le château de Marson et les caves de Bouvet-Ladubay pour une ultime dégustation, les 87 km entraîneront les participants un peu plus loin dans les terres angevines .

Le dress code :

Afin de s´immerger un peu plus dans une ambiance vintage, les participants devront ressortir leurs vêtements du début XXe. Les hommes doivent donc sortir leur plus belle coiffe, casquette pour les plus sportifs ou chapeau pour les plus classiques, des bretelles ainsi que le port de la moustache sont fortement conseillés. Quant aux femmes, une paire de gants, une robe ou un foulard par exemple seront les bienvenus. Mais tous les styles seront bien évidemment acceptés.

Il n´est pas nécessaire de préciser qu´une bicyclette rétro est également indispensable, afin de coller parfaitement à l´ambiance de l´événement.

Le village de l’Anjou Vélo Vintage place du Chardonnet à Saumur accueillera un salon, une brocante avec au programme musique, dégustations de produits locaux, et même un concours d’élégance pour designer le ou la tenue vintage du week-end.

Environ 1600 personnes sont déjà inscrites pour les trois courses, et si vous souhaitez en faire partie, les inscriptions sont encore ouvertes sur le site, vintage lui aussi.

Développé en collaboration avec Yeong keun Jeon, le designer de San Francisco Areum Jeong a créé un système de rangement qui s’enroule autour de votre cadre avec à peine plus de deux boucles. Au contraire des accessoires de rangement actuels qui n’ont qu’une utilité, ce produit est complètement multi usage. Il peut contenir et donc permettre de transporter des affaires de sport, des produits de première nécessité, votre petit déjeuner… Baptisé « Reel », cette grande bande élastique est maintenue par de petites rondelles de gomme collantes, ce qui assure un espacement parfait entre les différentes sections du quadrillage. Ce concept permet aux utilisateurs d’adapter le quadrillage à leurs goûts et à la forme et à la taille de leur cadre.

C’est donc un concept intelligent, même si on aurait apprécié un système plus facile et rapide à installer et à enlever, avec une fixation velcro par exemple. Le système a l’air compliqué et long à monter. De plus, l’eau, la poussière et la saleté en général auront sûrement vite fait de décoller les petites rondelles de gomme.

Si on ne tient pas compte de ces petits problèmes techniques et pratiques, ce concept est pertinent, car bien plus léger et plus volumineux qu’un porte bagage accompagné d’un panier ou d’un coffre ou de sacoches par exemple. Il est également adaptable à tous les cadres, ce qui est finalement très économique.

Il sera de plus un accessoire de mode sans pareille pour votre vélo. Les bandes sont toujours dans les tons et les couleurs de la saison, et leur prix peu élevé vous permettra d’en posséder plusieurs, et de les changer selon vos humeurs et selon les saisons.

Ce nouvel accessoire pour votre vélo, peut paraître comme étant seulement un accessoire de plus, mais adoptez-le et vous verrez que vous ne pourrez bientôt plus vous en passer. Le concept a encore besoin d’être un peu amélioré, mais dès que la version définitive sortira, il deviendra sans nul doute l’accessoire préféré de nombreux cyclistes, urbains ou non.

Dans le cadre de son projet bike city, la ville de Vienne a conçu un immeuble entièrement pensé pour les cyclistes. En effet, cet immeuble offre 99 appartements (tous en location) pour 330 places de stationnement destinées aux vélos (soit plus de 3 places pour un appartement) et seulement 56 destinées aux voitures. Le but de cette initiative est de répondre à la demande de la population. Ainsi à travers ce projet, la ville incite l’utilisation quotidienne du vélo.

En moyenne 3 places pour vélo sont attribuées pour un appartement. Ceci se situant à chaque étage, juste au pas de la porte. L´immeuble est également équipé de deux ascenseurs qui peuvent contenir jusqu’à trois personnes et trois vélos, ce qui facilite la montée des vélos aux différents étages.

Les visiteurs qui viennent en vélo ont également la possibilité d’attacher leur vélo à des arceaux situés au rez-de-chaussée près de l’entrée. À cet même emplacement on retrouve également différents services comme une salle de relaxation, une salle de fitness, une cuisine commune, une salle de jeu pour les enfants et bien entendu un atelier vélo où du matériel pour vélo et un point d´eau sont mis à disposition.

Et la voiture dans tout ça ? Contrairement à ce que l’on pourrait croire la ville n’incite pas les citadins à abandonner leur voiture; en effet ce n’est pas une nécessité ni un critère pour vivre dans cet endroit. La ville de Vienne à travers son projet Bike city cherche seulement à changer les habitudes et à réduire l’utilisation de la voiture. À l’extérieur une auto-lib est disponible pour les locataires de l´immeuble.

On pourrait croire que le projet Bike city ne séduit pas les habitants de Vienne. Détrompez-vous, dès l´ouverture des inscriptions les demandes ont afflués. On compte notamment plusieurs milliers de personnes sur liste d’attente. Alors à quand le prochain immeuble ?

La sécurité à vélo en bref

Comme beaucoup, on roule sans se soucier parfois de la sécurité à vélo. En effet, comme il existe un code de la route pour les automobiles, il existe des règles à respecter lorsque l’on roule à vélo.

La route est un espace public que partagent voitures, bus, scooters, vélos et parfois même piétons. Il est donc important de respecter quelques règles de sécurité pour cohabiter paisiblement avec les autres usagers de la route. Tout d’abord, il est primordial d’être équipé d’un vélo en bon état et bien équipé. Ensuite la connaissance et l’application des différentes règles de sécurité est également nécessaire.

L’équipement du vélo et du cycliste

Un des aspects importants pour assurer une bonne sécurité à vélo est la visibilité, des dispositifs auto-réfléchissants (catadioptres) doivent être présents, ils sont de couleur rouges à l’arrière, blanche à l’avant et oranges sur les côtés et sur les pédales. Ces dispositifs permettent aux cyclistes d’être vus par les autres usagers de la route. En effet, lorsque la circulation est dense,par temps de mauvais temps ou sous la pluie, ces dispositifs leur procurent une visibilité plus élevée. Les feux également obligatoire doivent être jaune ou blanc à l’avant et rouge à l’arrière. Autres éléments importants : le port d’un gilet rétro-réfléchissant qui n’est obligatoire seulement lors de la circulation hors-agglomération et la nuit. Outre la visibilité, l´équipement doit être en bon état ce qui inclut les freins avant et arrière ainsi que la présence obligatoire d’un avertisseur sonore qui peut permettre notamment de signaler sa présence lors de moments dangereux.

Le port du casque est quant à lui non obligatoire mais fortement conseillé. Des pneus bien gonflés vous assurent une meilleure sécurité à vélo.Quant à l’anti-vol, il peut s’avérer être une bonne chose que l’on ait un vélo haut de gamme ou non.

Règles élémentaires

Il est interdit de circuler sur les trottoirs, exceptés pour les enfants à vélo de moins de 8 ans. Circuler sur les bandes d’arrêt d´urgence et zigzaguer entre les voitures n’est également pas autorisé. Il est recommandé pour des mesures de sécurité à vélo de rouler à environ 1 mètre du trottoir et des voitures en stationnement. Il est important d’anticiper l’éventuelle ouverte des portières et des enfants qui pourront passer entre deux véhicules. En cas d’intempéries, veuillez augmenter vos distance de sécurité.
Tout enfant de moins de 5 ans peut être transporté sur un siège fixé. Une personne non installée sur un siège ne peut être transportée. Il faut savoir que toutes infractions peuvent être sanctionnées par une amende.

Ses débuts à vélo

Il n’y a pas d’âge pour apprendre à faire du vélo, mais c’est évidemment plus facile lorsque l’on est petit.

Notre enfant peut commencer à apprendre à faire du vélo dés 18 mois à l’aide d’un tricycle. Le principe est simple : le tricycle est équipé d’une canne parentale permettant aux parents de le guider et de le maintenir droit. La plupart du temps, cette tige est amovible ; elle peut donc s’enlever quand l’enfant est plus à l’aise ou devient plus grand. Équipé de trois roues le tricycle permet à l’enfant de se familiariser avec le fait de se déplacer. L’enfant aura par la suite envie de se déplacer sans que ses parents le poussent, d’être autonome, ainsi il commencera à apprendre à pédaler tout seul.

Apprendre à faire du vélo tout seul

Le premier vrai vélo est souvent équipé de deux petites roues qui permettent la stabilité de l’enfant sur le vélo. Cependant cette solution n’est pas la plus appropriée pour que votre enfant apprenne l’équilibre. Il est possible de baisser la selle au maximum pour qu’il puisse avancer en s’aidant de ses jambes ; ainsi il découvrira ce qu’est la propulsion et pourra tester l’équilibre qu’il a sur son vélo.

À partir de 4 ans, il est possible de passer aux deux roues. Les premières fois il est conseillé d’en faire sur des lignes droites, de pousser un peu la selle pour lui donner un peu de vitesse et de maintenir votre main dans le dos. Cela permet de le rassurer et de le stabiliser un peu. Et surtout : il faut regarder au loin pour maintenir l’équilibre, le regard dirige le vélo.

Pour certains enfants apprendre à faire du vélo peut ne pas être facile. Il peut arriver que certains aient peur ou n’y arrivent pas, en faire avec des enfants du même âge ou suivre un frère ou un cousin plus âgé peut l’aider à prendre confiance en lui.

Un élément également important est le freinage. Il est important que l’enfant sache freiner avant de partir à l’aventure sur son vélo. À l’arrêt, il peut être intéressant de lui demander de pousser avec ses jambes et de freiner en même temps, si le vélo ne bouge pas, c’est parfait sinon renouveler l’opération autant de fois que nécessaire.

Un bon équipement

Plusieurs points sont importants pour apprendre à faire du vélo

Les bénéfices pour l’enfant

Le vélo peut être un bon moyen de transport pour que l’enfant aille à l’école. Cela lui permettra d’avoir une activité physique régulière et ainsi de se maintenir en bonne santé. Le vélo présente plusieurs bénéfices tels que :

Le biporteur ou triporteur est un moyen de locomotion permettant de transporter ses enfants. Ce moyen de transport est plus sûr que les traditionnels sièges enfants que l’on met à l’arrière de son vélo, le centre de gravité étant plus bas. Ce moyen de transport est très utilisé aux Pays-Bas car le paysage y est adéquat.

Biporteur ou triporteur ?

La différence entre un biporteur et un triporteur n’est pas le nombre d’enfants que l’on peut transporter mais le nombre de roues qu’il possède. En effet, un biporteur est un vélo à deux roues alors qu’un triporteur un vélo à trois roues. Ces vélos sont équipés d’une malle située à l’avant qui permet de transporter aussi bien ses enfants que ses courses. Il est possible de transporter jusqu’à 5 enfants. Parfois il peut s’avérer que la charge à l’avant soit assez conséquence ainsi il est possible de trouver des modèles équipés d’une assistance électrique au pédalage.

Le biporteur est très proche de la bicyclette avec ses deux roues, il permet ainsi de rouler à la même vitesse, en ligne droite et dans les virages. Plus stable qu’une bicyclette munie de deux sièges enfants, il est également compact et très maniable. Il est conseillé de transporter jusqu’à 2 enfants ou 3 si ceux-ci sont plutôt jeunes.

Le biporteur ou triporteur est équipé d’une béquille, large et très solide permettant aux enfants de monter et descendre tout seul du vélo. Souvent équipé de sangle, elle sécurise les enfants situés à l’avant du véhicule. En cas de vent ou de pluie il est possible d’utiliser la bâche transparente.

Quant au triporteur, il est plus large, plus lourd et permet donc de transporter plus d’enfants jusqu’à 5. Par contre, de par son poids il roulera moins vite et sera donc plus adapté aux courtes distances, aux familles nombreuses et aux utilisations multiples.

Bien entendu il est plus économique et écologique de se déplacer en biporteur ou triporteur qu’en voiture.

Avoir les enfants à l’œil

Le biporteur ou triporteur permet de toujours garder un œil sur ses enfants, ceux-ci étant placés à l’avant du vélo. À l’aide de ce vélo, il est possible de transporter les enfants jusqu’á leur 8 ans ou jusqu’à qu’ils soient en mesure de pédaler tout seul.

Les aides

Il également intéressant de savoir que certaines régions de France ont mis en place une aide pour l’achat d’un biporteur ou triporteur. C’est le cas par exemple de la ville de Nantes ; en effet chaque achat étant subventionné à hauteur de 300€.

De plus en plus de français choisissent le vélo comme moyen de locomotion, pratique, rapide et économique. Autrement dit, plus de vélos en circulation plus de vols de vélo. On va tenter de vous donner quelques conseils pour garder votre vélo le plus longtemps possible.

Eviter un vélo de trop bonne qualité

Un vélo de trop bonne qualité, flambant neuf et coûtant assez cher, favorisera le vol de vélo et fera des envieux. Bien entendu, il est recommandé de choisir un bon vélo pour les sorties en montagne mais est-il nécessaire de sortir son beau vélo cube pour aller acheter le pain à deux rues de chez vous ?

Attacher son vélo

Attacher votre vélo à quelque chose de solide et de stable comme un poteau ou une clôture par exemple. Il est important de ne pas attacher seulement la roue qui est démontable mais également le cadre. Ainsi les voleurs ne peuvent ni partir avec votre roue avant ni avec votre vélo ! Bien attacher son vélo empêche donc le vol de vélo, alors prenez 5 min pour le faire !

Le choix de l’antivol : une solution contre le vol de vélo

Le choix de l´antivol reste un choix toujours difficile pour les cyclistes. Que vaut-il mieux s’alourdir un peu et rouler l’esprit léger ou risquer un vol et de rentrer à pied ? La plupart du temps on choisit de voyager léger, je vous dirais donc à vos risques et périls ! On vous déconseille les cadenas à 4 chiffres, et ceux trop fins que l’on pourra facilement couper à la pince. Privilégiez plutôt les antivols en forme de U qui sont réputés comme étant les meilleurs.

Choisir le bon emplacement

Le choix de l’emplacement n’est pas si simple. Eviter les lieux sombres et isolés ou il serait trop facile de voler votre vélo. Préférez les lieux très fréquenté. Cependant méfiez-vous, une forte concentration de vélos au même endroit attirerait les voleurs..

Marquage Bicycode

Le marquage Bicycode reste encore un bon moyen de prévenir contre le vol de vélo. Cela consiste à graver un numéro sur le cadre de votre vélo. Si votre vélo est volé puis retrouvé il vous sera rendu, ce marquage est indélébile !

Le système D

Une entreprise allemande a trouvé une solution contre le vol de vélo, qui n’est malheureusement pas commercialisé pour le moment. On l’attend donc avec impatience. La preuve en image !

Izzy bike : le vélo polonais

Un vélo sans chaîne ca existe ? Non ce n’est pas une légende, le vélo sans chaîne existe réellement. Vous pouvez donc oublier vos vieux souvenirs où vous dérailliez et qu’il fallait se salir les mains pour arranger la chaîne.

Ce vélo que l’on peut caractériser d’hors du commun a été imaginé par un physicien polonais : Marek. Bien que d’apparence banale, l’Izzy bike est en réalité très différent d’un vélo classique. De nombreux changements ont été apportés sur ce vélo notamment l’absence de chaîne. D’après le physicien polonais Marek le fait de ne plus avoir de chaîne entraîne une meilleure diffusion de l’énergie. Sur certains modèles une petite roue a été ajoutée permettant ainsi de faire le lien entre les roues principales.

Les pédales quant à elles, ont un tout autre emplacement au lieu de se trouver au milieu elles sont désormais sur la roue avant de l’appareil. Ce nouvel emplacement permet au cycliste d’avoir une position beaucoup plus confortable lui permettant de pédaler le dos bien droit.

Izzy bike : vélo pliable

Izzy bike a été pensé pour être très stable ce qui rend donc possible pour les plus entraînés de lâcher le guidon. Rassurez-vous cet appareil est parfaitement adapté au novice car il permet de rouler vite sans trop se fatiguer. Un autre aspect important de l’izzy bike est qu’il a été conçu pour être pratique. En effet, il est très facile de le faire entrer dans un coffre ou dans un ascenseur. Le plier est un jeu d’enfant, en deux secondes le tour est joué, il suffit simplement de faire pivoter le guidon à 250° et inversement pour le déplier.

On peut donc dire que ce vélo aussi surprenant soit-il semble idéal : absence de chaîne et facilement pliable que demander de mieux ?

Un projet d’étude long et coûteux

Même si le casque vélo est un élément de sécurité important, de nombreux cyclistes se refusent de le porter en prétextant cette coque inconfortable, encombrante et disgracieuse. C’est aussi que pour répondre à leurs besoin deux suédoises étudiantes en design ont mis un point un casque de vélo invisible pour leur projet de fin d’étude. Il vous protège la tête, respecte votre coupe de cheveux et soigne votre look. Ce casque vélo est le résultat de 7 ans de recherche pour leur thèse.

Anna Haupt et Terese Alstin ont dû pour réaliser ce casque vélo collaborer avec différents médecins spécialistes des traumatismes crâniens et lever près de 10 millions de dollars. La production de ce casque résulte de plusieurs centaines d’heures de simulations, de tests et d’études pour qu’il reçoive le label de conformité européenne (CE).

Fonctionnement du casque vélo

Ce casque vélo invisible et efficace protège à la fois la tête et la nuque se présente sous la forme d’un gros col, d’une grosse écharpe que l’on zippe. Cela ressemble étrangement aux K-way ou aux anoraks où la capuche est camouflée dans le col ; l’airbag se déploie et enveloppe la tête jusqu’au front et aux cervicales lors de chutes ou de chocs.

Ce casque de vélo fonctionne sur le principe d’un airbag qui fonctionne sur batterie. Cette batterie quand elle est en marche a une autonomie de 18 heures. Il est conseillé de recharger toutes les six semaines la batterie pour utilisation quotidienne d’une demi-heure.

Le Hövding est commercialisé dans quelques poignets de pays européens, la France n’en fait malheureusement pas encore partie pour le moment. Mais rassurez-vous on peut le trouver en ligne pour la modique somme de 399€. Alors troqueriez-vous votre bon vieux casque contre l’élégance ?

Histoire du vélo : ses débuts

L’histoire du vélo commence en juillet 1817, Karl von Drais, un allemand, parcourut 14,4 km en une heure à califourchon sur une poutre en bois reliant deux roues. Il avançait grâce à l’action de ses pieds sur le sol. La machine utilisée communément appelée draisienne en France a été brevetée en 1818 sous le nom de « vélocipède ». Le principe de cette machine est qu’une personne puisse marcher à une vitesse plus élevée que la normale.

Le premier vélocipède à pédales

L’histoire du vélo se poursuit en 1861, soit plus de quarante ans après, un chapelier apporte à un serrurier Pierre Michaux, une draisienne dont la roue avant est défaillante. Pierre Michaux s’engage donc à la réparer. L’un de ses fils, Ernest teste le vélo et constate qu’une fois qu’il prend un peu de vitesse il ne sait pas où placer ses pieds. Ainsi un repose-pied est installé dans le moyeu de la roue ce qui permettra de la faire tourner. Et la pédale fut créée !

Aller plus vite !

Maintenant on doit rendre le vélo plus rapide. Il faut augmenter le diamètre de la roue avant pour pouvoir augmenter la distance parcourue à chaque coup de pédale, les pédales étant fixées de chaque côté du moyeu de la roue avant. Ainsi, on verra le diamètre de la roue avant augmenter sans cesse au détriment de la roue arrière qui sera de plus en plus petite. C’est ainsi que le grand bi vit le jour.

Quelques années plus tard, le français Jules Truffault transforma le grand bi en acier. Les jantes et fourches furent allégées car elles étaient creuses ; les rayons en bois furent remplacés par des rayons métalliques. Ce grand vélo devient plus maniable grâce à l’utilisation d’un roulement à billes. Ainsi en 1881, les modèles de course pesaient entre 10 et 11 kg. Cependant la roue avant qui pouvait mesurer près de 3 mètres posa des problèmes de sécurité, il fut donc nécessaire de repenser l’idée du vélo.

Le vélo d’aujourd‘hui

L’histoire du vélo se poursuit dans les années 1880 où naquit la bicyclette aux deux roues aux diamètres égales et sa chaîne ! Cependant le cadre de ce vélo était surprenant puisqu’il était en forme de croix. Il faudra attendre 10 ans pour que la forme du cadre change et devienne géométrique.

L’histoire du pneumatique

1891, Charles Terront, vainqueur de Paris Brest Paris, est le premier à être équipé de prototypes Michelin démontables. Ce ne sont en faite pas les premiers, en 1888 un vétérinaire écossais Dunlop avait inventé « le tube de caoutchouc gonflé d’air ».

Les innovations

Très vite différentes petites innovations s’enchaînèrent comme le vélo à deux chaînes, 3 vitesses et le changement de vitesse par dérailleur. Pendant très longtemps le vélo est resté un moyen de locomotion très répandu car bon marché. Le vélo est également très utilisé dans certains pays à très fort courant écologique comme l’Allemagne ou la Hollande.

Amateurs de sensations fortes

Mais l’histoire du vélo ne s’arrête pas là; pour ce qui est des vélos spécialisés ce n’est que plus tard vers les années 1970 que le VTT fait son apparition, suivi du VTT tout suspendu en 1990 et du BMX dans les années 70. Ce vélo était à la base destiné aux enfants encore trop jeunes pour pratiquer la motocross.

Inventé par Charles Mochet le vélo couché, aussi appelé vélo horizontal ou vélocar a été conçu de façon à ce que le conducteur soit en position allongée. En effet, celui-ci est couché sur le dos avec les jambes à l’horizontale. La selle est en faite un siège permettant d’appuyer son dos, le pédalier est situé à l’avant et quant au guidon il se situe soit au dessus des genoux soit sous les fesses.

Avantages du vélo couché

Le vélo couché présente de nombreux avantages. Tout d’abord, on constate qu’il y une meilleure pénétration dans l’air que sur un vélo classique. Les avantages sont également présents pour le conducteur, en effet la position allongée est plus adaptée pour le squelette et le cœur. Le vélo couché est plus adapté aux parcours longs au relief légèrement vallonné. La descente permet au cycliste qui est en position allongé de se reposer et d’aller plus vite. Pour ce qui est des montées, il lui est impossible de se mettre en danseuse mais il lui est possible de prendre appui sur le dossier de son siège avec son dos pour gagner de la puissance ! Sur un vélo couché, la récupération est plus rapide, la vision à l’avant meilleure et le confort du siège plus élevée que celui de la selle. Vous pouvez donc bannir vos peaux de chamois, elles ne sont plus d’aucune utilité. Aucune pression n’est exercée sur les poignets ce qui permet de parcourir de longues distances sans douleur.

… et ses quelques inconvénients !

Pour ce qui est des inconvénients, la visibilité à l’arrière est très largement réduite, en effet il n’est pas facile de regarder en arrière lorsque l’on est sur un vélo couché. Cependant pour pallier cette nuisance il est possible d’installer un petit rétroviseur. On constate également une absence de ventilation de part la position allongée. Également ce vélo est moins visible en ville et dans les files de voitures ce qui met le cycliste dans une position plus dangereuse.

Le vélo couché est très stable de par son point de gravité très bas, il est donc possible d’atteindre des vitesses plus élevées qu’avec un vélo classique. Ce type de vélo est plus apparenté à un vélo de randonnée car il est possible de parcourir de longues distances avec moins d’effort. La version vélo couché en tandem existe également.

Depuis quelques temps, il est possible de trouver des vélos électriques couché. Ceci consomment beaucoup moins que les vélos standard ce qui augmente leur autonomie.

 

Tout d’abord parlons de la selle, si vous n’avez pas l’habitude de faire du vélo il est important que vous ayez une selle qui soit confortable. En effet, lors de la reprise, une selle confortable sera moins douloureuse ce qui vous incitera d’autant plus à faire du vélo. Ainsi grâce à un couvre-selle vous pourrez parcourir de longs parcours, et rien ne vous empêche de l’enlever après quelques entraînements !

Un autre élément important est le téléphone. Il paraîtrait fou de partir sur son vélo sans son précieux téléphone. Alors ne vous en faîtes pas depuis le « mobile bag » plus rien ne vous oblige à vous séparer de votre téléphone. Il est également possible d’attacher votre téléphone sur votre vélo et de vous en servir comme GPS. Il vous suffit simplement de fixer le support téléphone sur votre cadre et le tour est jouer. Rassurez-vous le support est souvent accompagné d’une housse étanche, ceci vous permettra donc de parcourir la ville même sous la pluie.

Il voudrait mieux pour vous que votre vélo soit équipé d’un garde boue. En effet, cela vous permettra de ne pas retrouver votre pantalon blanc complètement noir. Très utile et pourtant souvent oublié le garde boue fait partie des indispensables pour vélo. En effet, il vous garantira d’aller d’un point A à un point B sans être obligé de repasser par le pressing.

Le vélo peut demander parfois un certains efforts, il est donc important d’être équipé d’une gourde ou d’un bidon. Cela vous permettra de vous hydrater correctement tout au long de votre déplacement.

Bien entendu, l’antivol fait partie des indispensables pour vélo. Il est essentiel d’en avoir constamment un sur soi pour protéger son vélo. Le casque quant à lui protégera votre tête, il est donc très important de le porter et l’attacher bien entendu.

Une fois bien équipé il ne vous reste plus qu’à sortir votre vélo et arpentez la ville !

Le Fixie

Il n’est pas rare qu’en se promenant dans Paris, vous aperceviez des vélos qui paraissent à la fois vieux et moderne. Ils sont esthétiques, avec des cale-pieds et en général les conducteurs roulent lentement, très lentement … C’est un fixie, un vélo à pignon fixe. Un vélo à pignon fixe signifie qu’il n’est pas possible de faire de la roue libre, il faut donc sans cesse pédaler.

Ces vélos sont généralement colorés, en effet la cadre a été repeint, les guidolines sont impeccables ou alors plutôt old style pour donner du cachet au Fixie. Les pneus sont généralement neufs et de marque, la mécanique est dernier cri et la chaîne est intacte.

Ces vélos sont customisables ce qui permet à chacun d’affirmer sa singularité. Il est possible de personnaliser la couleur du cadre, des roues, des bandes de guidons, des jantes mais également des boulons.

Généralement le Fixie ou plutôt les pièces qui le composent sont issus de la récupération, d’un dépôt-vente ou Emmaüs. Cet attrait est essentiel pour le bobo.

De plus, ce vélo est accessible même si sur certains sites d’enchères il est possible d’en trouver à des prix exorbitants. Acheter un Fixie rime très souvent avec réhabilitation et réparation, il n’est possible en aucune façon de le jeter… ça ne serait politiquement pas correcte !

Mais qui sont les bobos ?

Un bobo habite Paris, fait du vélo car cela permet de ne pas polluer. L’attrait très important est qu’il se détache de la masse, c’est pourquoi le pignon fixe est un réel atout. Il se distingue ainsi des autres parisiens tout en se faisant remarquer.

C’est ainsi que le Fixie s’est vu devenir populaire à Paris pour la première fois et depuis le phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur.

La pédale cadenas : la pédale anti-vol

De plus de plus, de personnes se mettent au vélo, c’est écolo, à la mode… ça a tout pour plaire. C’est surtout rapide pour se déplacer et simple pour se garer, encore faut-il trouver en endroit sûr. Mais avec la multiplication de la circulation de vélo et la saturation des parkings vient aussi la montée du vol de vélo. En effet, vous êtes de plus en plus nombreux à vous faire voler votre vélo. Faut-il donc se résoudre à porter un antivol encombrant et inesthétique mais efficace ? Ce n’est pas si sûr !

Deux designers taïwanais du National Taiwan University of Science & Technology, Department of Industrial and Commercial Design, Cheng-Tsung Feng et Yu-Ting Cheng, ont mis au point un concept innovant qui vous évitera de vous encombrer d’un antivol : le Pedal Lock. Le principe est très simple, il vous faut seulement utiliser votre pédale cadenas. Une fois à l’arrêt, vous les dévissez, les clipsez ensemble sur votre roue et à l’aide de la clé, vous verrouillez et le tour est joué ! Un système simple mais efficace.

Les voleurs de vélo ne pourront plus s’emparer du votre à moins de vouloir utiliser une draisienne ce qui reste peu probable. Par contre, le concept de pédale cadenas n’est utilisable seulement lorsque le pneu n’est pas très épais, il est donc malheureusement impossible de s’en servir sur des roues de VTT. Ces pédales ne demandent pas d’outils ce qui vous ne vous encombreront donc pas. Une fois que vous souhaitez rentrer chez vous, votre vélo n’aura pas bougé, il suffira simplement de débloquer la roue et de revisser les pédales. Ingénieux n’est ce pas ?

Ce concept design a déjà reçu en 2011, le Red Dot Award, maintenant on attend plus que la fabrication et la distribution de ce nouvel objet qui saura révolutionner nos sorties vélo.

Pourquoi choisir un VTT plutôt qu’un vélo de route classique ? Cela dépend en premier lieu des itinéraires que tu comptes effectuer avec ton vélo. Si tu veux juste aller de temps en temps au travail avec ou faire quelques balades en famille le dimanche après-midi, tu n’as pas besoin d’un VTT. Par contre, si tu as envie de partir à l’aventure à travers monts et forêts, il est certain que le vélo tout terrain te conviendra parfaitement. Tu pourras prendre les chemins caillouteux sans avoir peur de te retrouver en pleine campagne avec un pneu crevé et même te permettre quelques petites acrobaties sympa.

Choisir son VTT

C’est décidé, vous voulez vous offrir un VTT. Plein d’enthousiasme, vous vous apprêtez à acheter votre vélo tout terrain, mais voilà le prochain obstacle à franchir : enduro, freeride, marathon, descente, allmoutain, cross country… Quel est le modèle le mieux adapté à vos besoins ? Encore une fois, ceci dépend de ce que vous avez  envie de faire avec votre VTT. Le mieux est de demander l’avis de professionnels qualifiés, chez un vélociste de votre ville ou sur un site spécialisé dans la vente de vélos. Un bon vélo tout terrain a son prix. Même ceux proposés d’occasion sont souvent assez chers. Il est donc conseillé de bien se renseigner avant de se lancer dans une dépense.

Le VTT, la sécurité d’abord

Chaque cycliste devrait porter un casque de protection, qu’il roule en ville, sur une petite route de campagne ou à travers la forêt. Il va de soi que le vététiste qui parcourt des chemins accidentés doit absolument s’équiper d’un casque de haute qualité. Un casque intégral est recommandé pour la pratique extrême qui inclut bon nombre de pirouettes et est obligatoire lors de certaines compétitions. Pense aussi à protéger tes yeux si tu ne portes pas de casque intégral. Personne ne se lance avec son VTT avec l’idée de tomber, mais les chutes ne sont pas rares chez les vététistes. Des gants, des genouillères et des coudières t’épargneront des blessures douloureuses. Les pros du VTT prennent aussi une trousse de secours avec eux.

Deux grandes chaînes de montagnes passent par la France : les Alpes, et les Pyrénées. Les Alpes sont particulièrement impressionnantes. Elles s’étendent sur plus de 1200 kilomètres, entre la Méditerranée et le Danube, et traversent le sud de l’Allemagne, le sud-est de la France, l’Autriche, la Suisse, et le nord de l’Italie.

Les Alpes comprennent plus de 80 sommets dépassant 4000 mètres d’altitude, ce qui les rend très attractives pour de nombreuses activités, comme la marche, l’escalade, mais aussi le VTT.

Depuis quelques années, l’un des grands rendez-vous cyclistes des Alpes se déroule en Juillet, et se nomme le Mountain of Hell. C’est une course de descente en VTT sur 3 jours, qui démarre au glacier des 2 Alpes, et qui entraîne les cyclistes à descendre plus de 2500 mètres de dénivelé ! L’esprit freeride est ici à son paroxysme, avec beaucoup d’adrénaline, de sensations fortes, et de souvenirs inoubliables. Cette année, près de 600 riders se sont lancés dans cette course incroyable, à plus de 3200 mètres d’altitude.

Bien avant le Mountain of Hell, les 2 Alpes étaient déjà un endroit incontournable pour les amateurs de VTT. En effet, depuis les années 1990, le VTT est devenu une importante activité d’été dans cette prestigieuse station de ski. Le Mondial du VTT Free Raid s’y tient tous les ans depuis 2004, tout comme le Crankworx. Le VTT de descente y est énormément pratiqué, plusieurs millions d’euros ont été investis pour satisfaire une clientèle toujours plus nombreuse et exigeante. Cette pratique a pris une telle ampleur que désormais, le domaine réservé au VTT aux 2 Alpes a un nom : 2 Alpes Bike Park, avec plus de 100 kilomètres de pistes, 5 itinéraires de randonnée, 8 remontées mécaniques adaptées aux VTT, et 21 pistes dont 1 piste d’élite. Autant dire qu’en quelques années, les 2 Alpes sont devenues une station d’exception pour les amateurs de VTT.

L’Oisans, région des Alpes françaises, est véritablement un haut-lieu du VTT. Le Mountain of Hell y passe, mais également la Mégavalanche, qui est tout simplement la plus importante descente VTT au monde (30 kilomètres de descente et plus de 2800 mètres de dénivelé !). Les deux épreuves de descente en Oisans figurent donc comme références absolues dans le domaine du Mountain Bike.

La Mégavalanche prend son départ à l’Alpe d’Huez, qu’il ne faut pas oublier non plus. Très importante station de ski l’hiver avec 133 pistes skiables, elle est également un lieu incontournable du VTT dans les Alpes, puisque c’est l’une des plus célèbres ascensions de cette chaîne de montagnes. Cette popularité provient en grande partie des réguliers passages du Tour de France, avec certains de ses scénarios prestigieux et décisifs, qui ont été écrits dans cette montée. Chaque jour, plusieurs centaines d’amateurs tentent l’ascension de l’Alpe d’Huez.

Bien d’autres endroits dans les Alpes permettent de pratiquer pleinement le VTT, il n’y a ici qu’un résumé des lieux incontournables, destiné à vous donner envie de parcourir ses somptueux massifs, entourés de magnifiques paysages, à bord de votre VTT.

Qu’est-ce qu’un VTT 29 pouces ? C’est un VTT équipé de plus grandes roues que les vélos tout terrain habituels, qui n’ont que 26 pouces de diamètre. Suffit-il de mettre de plus grandes roues sur son VTT pour obtenir un 29er ? Bien sûr que non, puisque le cadre et la fourche doivent être adaptés à la taille des roues. Encore peu connu chez nous, mais très apprécié des Américains, le VTT 29 pouces part à la conquête de l’Europe. Sa taille fait le bonheur des grands vététistes qui avaient auparavant du mal à trouver un vélo adéquat, mais ceci n’est pas son seul avantage.

Le VTT 29 pouces, les avantages

Avant tout, le VTT 29 pouces apporte à son propriétaire un meilleur confort que les autres vélos tout terrain. Les pneus sont plus gros et ont donc une meilleure prise, côté non négligeable sur terrain humide ou boueux, surtout dans les virages. Ils permettent de moins ressentir toutes les imperfections du terrain. Les grandes roues lui offrent une plus grande stabilité dans les descentes raides ou dans les montées rudes. Si tu hésites encore entre un VTT 26 pouces et un VTT 29 pouces, débrouille-toi pour trouver une possibilité de faire un essai. Certains vélocistes acceptent que les clients potentiels fassent un petit tour devant leur magasin. Le mieux étant bien sûr de pouvoir l’essayer directement sur le terrain.

Le VTT 29 pouces, des inconvénients aussi

Le VTT 29 pouces n’a pas que des avantages. Si certains en font l’éloge, d’autres ne partagent pas leur enthousiasme pour ce vélo tout terrain jugé moins maniable. Même si les adeptes du VTT 29 pouces ne trouvent aucun inconvénient à leur monture bien-aimée, les autres diront que le 29er est plus lourd, moins vif, moins rapide… Il est clair qu’on peut trouver des arguments pour et contre. À chacun de faire son choix et de faire ses expériences. Le principal étant de trouver le vélo qui convient à tes envies et à tes capacités et d’avoir du plaisir aussi bien sur la route qu’en terrain accidenté.

 

Après « Art of Flight », Red Bull Media House a produit un autre film tout aussi impressionnant. Il fallait en effet assouvir les besoins des fans de VTT Freeride, après avoir épaté les aficionados de Snowboard Freeride. Art of Flight mettaient en scène des snowboarders professionnels dans les montagnes d’Autriche, de Patagonie ou encore d’Alaska. Avec le nouveau projet Redbull, le « moutain bike » est à l’honneur. Ce sport extrême mêle à la fois prise de risques et grands espaces naturels vierges au relief accidenté. On imagine donc bien la dose d’adrénaline que devrait procurer la simple vue de ce film, réservé aux amateurs de sensations fortes.

Il faudra attendre jusqu’au 21 septembre 2012 pour voir le film événement « Where the trail ends ». Pour faire patienter comme ils peuvent les fans, les vidéastes canadiens de Freeride Entertainment célèbres pour avoir dirigé pendant dix ans la série « New World Disorder » ont proposé une bande annonce raccourcie de 90 secondes. Une jolie manière de tenir en haleine le public et faire la publicité du film, d’autant qu’ils avaient promis une bande annonce complète une fois le million de vue de la première atteinte. Le dernier avant-goût, long de deux minutes et trente cinq secondes permet désormais d’apercevoir les meilleurs riders du monde dans le désert de Gobi. On y voit surtout « Cam » Zink, star du Freeride descendre les monts rocheux grâce à une caméra embarquée sur son casque… ça promet ! Le film ne se déroule pas que dans le désert chinois. Champs de pierre en Argentine et au Népal, montagnes desséchées de l’Utah et de la Colombie britannique : plusieurs zones inexplorées et a priori impossibles à rider ont été bravées par les spécialistes de la discipline.

Darren Berrecloth, Kurtis Sorge, James Doerfling, Andreu Lacondeguy, Robbie Bourdon en neffet, Tyler McCaul, Cam mcCaul, Paul.B, Kyle Strait, Mike Kinrade, Garteh Bueler et bien sûr, Cameron Zink nous proposeront donc dans ce film des descentes vertigineuses au sein de paysages aussi magnifiques qu’effrayants. « Cam » Zink, la tête d’affiche de cette production qui durera 60 minutes est l’un des tous meilleurs pilotes du monde. Il a été le premier champion du monde de la discipline en 2010, année de création du FMBWT (Freeride Mountain Bike World Tour). Pas étonnant de la part de Red Bull et Freeride Entertainment de l’avoir mis en avant dans la bande annonce du film. D’un point de vue visuel et esthétique, « Where the trail ends » promet d’être d’une pure beauté. Il a fallu trois ans de tournage afin d’accumuler assez de matière pour voir naître le film. La qualité des descentes et de la performance globale des pilotes sera au rendez-vous. Mais plus encore, c’est la qualité des images qui promet d’être époustouflante. Le premier « trailer » lancé a été l’occasion de s’en rendre compte, avec les plans en slow motion proposés. Et pour cause, le film a été réalisé avec du matériel de très haute définition. Au-delà de l’intérêt du film pour les amateurs de VTT Freeride, c’est aussi l’occasion de découvrir des paysages incroyables, parfois inconnus.

Le designer Juri Zaech a une nouvelle fois fait parlé son imagination. Lui qui travaille comme directeur de publicité a une nouvelle fois su saisir la tendance au bon moment : en avance.

Cette fois, pas de chaises ou de livres design, pas de lettrines… Juri Zaech s’attaque à un phénomène qui envahit de plus en plus nos métropole à travers le concept de Write a Bike : le vélo personnalisable.

On peut voir dans ce projet l’expression la plus pure du génie de ce designer. Ces modèles de vélos ne seront peut-être (sûrement) pas commercialisés. Toujours est-il que notre designer apporte une solution à tous ces « commuters », adeptes du « vélotaf » qui cherchent sans cesse à personnaliser leur vélo, pour le rendre unique.

Juri Zaech ne change pas seulement la couleur ou la forme du cadre comme le font actuellement les utilisateurs de fixies. Non. Juri Zaech réinvente le cadre de votre vélo. Comment ? En le forgeant tout simplement selon la forme des lettres qui composent votre prénom.

C’est non seulement une idée plus qu’originale, mais c’est un défi sans cesse renouvelé pour le designer qui, si son vélo devait être commercialisé même à petite échelle, devrait sans cesse chercher et trouver une solution nouvelle pour adapter pédalier, freins, roues sur ses vélos tout en réalisant un cadre suffisamment résistant et adapté à la taille de la personne à l’origine de la commande.

On ne sait d’ailleurs pas encore quelles seront les pièces techniques qui seront adaptées sur ces vélos, mais à ce niveau là, après tout peu importe.

Une idée qui sort vraiment du lot donc, et dont on espère qu’elle verra le jour, tant elle pourrait ajouter un brin d’originalité et d’enthousiasme à notre trajet quotidien à vélo. Dans tout les cas, offrir un tel vélo pourrait être une très belle idée de cadeau (et même de cadeau de mariage dans le cas du tandem). Il ne faut pas oublier également qu’avant d’être des vélos, ces vélos seront peut-être également de véritables pièces de collections.

Il est sept heures, la ville s’éveille. Petit à petit, les trottoirs se remplissent d’une foule affairée. Les files de voitures s’allongent aux feux. Certains sont encore sur le périphérique et regardent leur montre. Ils savent qu’ils n’arriveront pas à l’heure au travail, réfléchissent vite au trajet à prendre pour éviter au mieux les embouteillages et finissent par rater leur sortie. Au feu, rien ne va plus, ceux qui avaient voulu passer à l’orange-rouge bloquent tout le carrefour et les autres klaxonnent, énervés. Petit bruit mélodieux dans ce brouhaha, la sonnette d’un vélo se fait entendre discrètement. Un cycliste souriant passe au milieu du désordre général. Il sait qu’en allant au travail à vélom (appelé aussi velotaf) il arrivera assez tôt pour boire son café tranquillement.

Velotaf : le vélo pour aller au travail, parfait pour les urbanistes

Aller au travail à vélo permet non seulement d’éviter les bouchons des heures de pointe, mais aussi d’économiser des frais d’essence. C’est, de plus, la meilleure solution pour notre environnement. De plus en plus de personnes choisissent le vélo pour aller au travail. Les
urbanistes en sont conscients et prévoient de nouvelles pistes cyclables dans les villes. Le nombre croissant de cyclistes urbains peut en effet se transformer en problème pour la circulation automobile, s’il n’est pas pris en compte sérieusement dans la planification de nos villes. Pour les cyclistes, c’est aussi bien sûr une question de sécurité. Car, qui veut risquer sa vie en allant au travail à vélo ?

Velotaf : aller au travail à vélo en toute sécurité

Faire confiance aux urbanistes, c’est bien. Prendre sa sécurité en main, c’est mieux. Pour aller au travail à vélo sans risques, certains accessoires sont pratiques, voire indispensables. Même s’il n’est pas vraiment esthétique, le casque de vélo est fortement conseillé pour se protéger. Il est d’ailleurs question d’un port obligatoire du casque de vélo en France ce qui, ces derniers temps, a enflammé une polémique autour du sujet. Pour l’instant, nous avons encore le choix, donc, à chacun de décider pour soi. Un cycliste doit d’être visible par n’importe quel temps et à n’importe quelle heure. Outre les réflecteurs du vélo, des vêtements munis de bandes réfléchissantes augmentent la visibilité pour aller au travail.

Une photo en noir et blanc, une allée au milieu de la forêt et une petite fille souriante et fière de son vélo enfant tout neuf. Qui ne se souvient pas de son premier vélo enfant à deux roues et de la première ballade en famille ? Le vélo enfant fait partie de ces cadeaux que l’on n’oublie pas même à l’âge adulte. Offert à Noël ou pour un anniversaire, le vélo enfant fait briller les yeux des petits garçons et des petites filles. Ils ont déjà raconté à leurs copains et copines qu’ils allaient sûrement en avoir un et attendent avec impatience le moment crucial où ils pourront monter sur leur nouveau bolide à deux roues.

Vélo enfant et environnement

À notre époque de prise de conscience écologique, il est important que les enfants découvrent le plus tôt possible le vélo comme moyen de transport. Si papa et maman prennent aussi leur vélo pour aller au travail ou pour aller chercher la petite sœur à la maternelle, les enfants auront envie de les imiter. En les accompagnant lors de leurs premières sorties avec le nouveau vélo enfant, les parents leur expliquent quels sont les dangers de la route et ce à quoi ils doivent faire particulièrement attention. Peut-être pourront-ils ensuite faire seuls le trajet jusqu’à l’école ou jusqu’à la piscine avec leur vélo enfant.

Choisir le bon vélo enfant

Le vélo grandit avec l’enfant et l’accompagne pendant plusieurs années. Le choix du bon vélo enfant est donc important. Toutes sortes de modèles sont actuellement en vente sur le marché : vélo enfant de marche, vélo avec roulettes de sécurité, VTT pour les casse-cou, ligne élégante pour les jeunes demoiselles. Côté couleurs, on trouve de tout aussi, du rose princesse au bleu métallique. N’oublie surtout pas d’acheter un casque de protection, accessoire indispensable pour les jeunes cyclistes. D’autres accessoires vélo sont plutôt là pour le plaisir des enfants. Un compteur vélo presque comme celui de papa est bien sûr le cadeau hyper génial à faire au prochain anniversaire.

Depuis des décennies, les exploits sportifs des coureurs cyclistes professionnels fascinent les foules. Le cyclisme est l’un des sports préférés des Français et chez beaucoup, il règne la même euphorie en période de Tour de France que lors d’une coupe du monde de football. Pas étonnant donc, que ce sport soit si populaire et que le marché du vélo de course soit aussi prospère en France. L’élaboration d’un vélo de course de haute performance demande des années. Ceci explique son prix pouvant aller jusqu’à plus de 10 000 euros dans le cas des vélos de grands coureurs. Mais rassure-toi, tu trouveras des modèles haute performance bien moins chers.

Le vélo de course en compétition

Le vélo de course utilisé pour la haute compétition est fabriqué en fibre de carbone. L’avantage majeur de ce matériau composite est sa légèreté. Outre son poids plume, il a la qualité d’être hyper résistant, ce qui lui vaut entre autres sa présence dans l’industrie aérospatiale. La fibre de carbone est flexible et se laisse travailler facilement. Il est ainsi possible de créer des vélos dont l’aérodynamisme défie toute concurrence. Le matériau idéal donc pour un vélo de course ? Malheureusement, la fibre de carbone ne résiste pas bien aux chocs et est difficile à réparer. Elle est de plus assez chère comparée à l’aluminium et à l’acier. Un vélo dont il faudra prendre spécialement soin…

Vélo de course pour débuter

Quel vélo de course acheter pour débuter dans le cyclisme ? Si tu ne comptes pas te lancer bientôt dans la compétition, un vélo fabriqué en aluminium fera l’affaire et sera toujours bien plus léger qu’un vélo de trekking. Les modèles actuels sont légers, résistants et contrairement à ceux en acier, ils ne rouillent pas. Avec un vélo de course en alu bien équipé, tu atteindras de bonnes performances. Ceci signifie que bien que le cadre alu soit moins cher que le carbone, un vélo de qualité coûtera quand même son prix. Certains coureurs se vantent d’avoir gagné des courses avec des vélos achetés en grande surface, mais ceci est plutôt l’exception à la règle. De plus pour la course, ton vélo doit être exactement adapté à ta taille.

Le cyclisme regroupe plusieurs sports différents, qui plus est sont représentés aux Jeux Olympiques. Certains sports de vélo à priori peu médiatisés réussissent à faire leur apparition tous les quatre ans devant le monde entier, preuve que ces disciplines ont de plus en plus de succès.

Le Mountain Bike se pratique sur des chemins de type montagneux, c’est-à-dire des chemins rocailleux, escarpés avec des descentes abruptes et des montées tout aussi délicates. Sa renommée mondiale soudaine lui a permis d’intégrer les Jeux Olympiques pour la première fois en 1996 à Atlanta. De nombreuses disciplines de Mountain Bike existent mais les Jeux n’intègrent que le cross-country. Elle concerne justement la pratique du VTT sur tous les terrains mais plus particulièrement sur plaine, basse-montagne voir moyenne-montagne. Les circuits sont courts mais très intenses du fait du relief difficile. Un nombre déterminé de tours doit être réalisé le plus vite possible par les participants. A Atlanta, le premier médaillé olympique fut le hollandais Bart Bretjens. Le français Miguel Martinez, décoré du bronze en 1996 sera champion olympique quatre ans plus tard à Sydney. Vint alors le règne d’un autre tricolore, Julien Absalon, double champion olympique à Athènes en 2004 et à Pékin en 2008. Son dauphin n’est autre que Jean-Christophe Peraud, un champion français de plus dans la discipline. Chez les femmes, la première championne olympique fut l’italienne Paola Pezzo, récidiviste en 2000 à Sydney. Lui ont ensuite succédé la norvégienne Gunn-Rita Dahle Flesja en 2004, puis l’allemande Sabine Spitz en 2008.

Le BMX comme le Mountain Bike est un sport spectaculaire à la renommée récente. Encore plus jeune au niveau olympique, cette discipline n’est apparue qu’en 2008 à Pékin. Huit candidats au départ parcourent une piste en terre battue de 350 à 400 mètres parsemée d’obstacles (des bosses, de dix à trente mètres) que l’on saute sur un vélo de bicross, ainsi que des virages (trois à six par piste). Ce sport acrobatique demande donc vitesse, vélocité, puissance, explosivité mais aussi endurance. Comme pour le Moutain Bike, le BMX consacre le participant le plus rapide, celui qui franchit la ligne d’arrivée en premier. A noter qu’aux Jeux, un contre-la-montre est organisé pour définir les séries. Le premier et seul champion pour l’heure est Maris Strombergs, l’autrichien médaillé d’or à Pékin, suivi de deux américains (Mike Day et Donny Robinson). Chez les femmes, on trouve deux françaises championne et vice-championne olympique : Anne-Caroline Chausson et Lætitia Le Corguillé. Si les français excellent en Mountain Bike aux JO, les françaises se rattrapent donc au BMX.

Le cyclisme sur piste est représenté aux JO avec plusieurs épreuves. Le keirin, épreuve originaire du Japon se coure sur une longueur de 2 km. Un lièvre (moto, tandem, derny) reste devant les coureurs puis s’écarte à 600 ou 700 mètres de la fin pour laisser place à un sprint. L’épreuve de vitesse individuelle, apparue en 2000 à Sydney oppose deux coureurs qui partent arrêtés côte-à-côte sur deux ou trois tours selon la longueur de la piste. En vitesse par équipes, deux équipes de trois coureurs (deux pour les femmes) s’affrontent sur trois tours de piste. Il s’agit d’un relai de vitesse. La poursuite par équipes est également un relai de vitesse réalisé par des équipes de quatre coureurs qui doivent rattraper leurs adversaires. Enfin, l’épreuve d’Omnium, introduite en 2012, comprend six sous-épreuves (tour lancé, course aux points, course à l’élimination, poursuite individuelle, scratch, contre-la-montre). Le français Bryan Coquard a été médaillé d’argent dans cette discipline à Londres. On compte d’autres champions tricolores de cyclisme sur piste avec en premier lieu, Grégory Baugé, médaillé d’argent de la vitesse par équipes à Pékin et à Londres et également médaillé d’argent à la vitesse individuelle. Chez les femmes, Félicia Ballanger a été médaillée notamment en vitesse en 1996 et 2000. Notons par ailleurs que les épreuves de cyclisme sur piste pour les femmes ne sont vieilles au maximum que de vingt ans, alors que les épreuves masculines sont bien plus anciennes.

Enfin, le cyclisme sur route est globalement un sport d’endurance. Discipline olympique depuis les premiers jeux modernes en 1856, il n’était cependant réservé qu’aux amateurs et ce jusqu’en 1996 à Atlanta. L’aura de cette discipline aux JO est donc moindre, alors que ce sport est professionnel depuis très longtemps et donne lieu à des courses de prestige, très médiatiques en dehors des Jeux (comme le Tour de France). La course en ligne est longue d’environ 250 km pour les hommes, mais plus courte pour les femmes (126 km à Pékin, 140 km à Londres). Depuis 1996, il a été introduit une épreuve de course contre-la-montre. A Londres, de grands noms du cyclisme ont été associés aux médailles d’or de la course en ligne et du contre-la-montre, avec pour vainqueurs respectifs Alexandre Vinokourov et Bradley Wiggins, le britannique vainqueur du Tour de France 2012.

Il y a cent ans, la plus grande course d’étapes de cyclisme du monde se déroulait pour la toute première fois. Depuis, le Tour de France a été un événement empreint de sensations, d’intrigues et de controverse. Aujourd’hui, il est toujours salué avec autant d’enthousiasme et de ferveur tant par ses participants que par ses spectateurs.

100ème édition de l’événement de cycliste le plus renommé au monde

Pour l’édition 2013, la course a commencé le samedi 29 juin et se déroulera jusqu’au dimanche 21 juillet sur un parcours divisé en 21 étapes, pour une distance totale de 3 404 kilomètres. L’événement se divise en plusieurs catégories : 7 étapes de plaine, 5 étapes accidentées, 6 étapes de montagne et 3 étapes contre la montre ponctuées de 2 journées de repos.

Particularités du Tour 2013

Grande nouveauté de cette année, le Tour de France est parti pour la première fois de Corse, qui n’avait auparavant jamais accueilli l’événement. Après avoir traversé Bastia, Ajaccio et Calvi, les équipes ont regagné l’Hexagone où la course se poursuivra intégralement, sans passer par aucun pays étranger, ce qui n’était pas arrivé depuis 2003.

Les étapes suivantes se sont déroulées le long de la côte Sud du pays, avant que les athlètes ne s’envolent aujourd’hui vers Saint-Nazaire en Loire Atlantique pour se reposer avant de reprendre la course.

L’un des temps fort de la 100ème édition attendu avec impatience est la montée de l’Alpe-d’Huez qui constituera la 18ème étape. Cette montée s’effectuera en deux temps, avec 50 kilomètres d’écart entre le premier et le deuxième point d’arrivée. Parmi les autres arrivées en altitude prévues au programme, Annecy-Seminoz est nouvelle sur la carte du Tour de France.

Faire du vélo présente de nombreux bénéfices importants pour ta santé. En pratiquant régulièrement cette activité, tu amélioras ta condition physique. Tu aides au bon fonctionnement de ton métabolisme, tu réduis les risques d’accident cardio-vasculaire, et surtout tu peux garder la ligne de tes vingt ans ! En bref, le vélo améliore ta santé et t’aide à rester en forme. Le vélo est d’ailleurs souvent préféré à la marche à pied, puisqu’il permet notamment aux personnes plus fragiles de ne pas avoir à porter leur poids. Le vélo a cet avantage de s’adresser à un large public, aux plus jeunes comme aux personnes plus âgées.

Le vélo, un sport populaire

Qui n’a jamais fait de vélo ? Le vélo peut tout aussi bien être pratiqué de façon intensive et devenir ainsi un sport de compétition (vélo de course), qu’être pratiqué de manière plus tranquille et être considéré comme un loisir. Il peut cependant aussi être vu comme un moyen de locomotion, puisque de plus en plus, les citadins des grandes villes le préfèrent à la voiture ou aux transports publics. Pour preuve, le nombre de villes ayant mis en place un système de location à l’heure. Le vélo est donc un élément indispensable pour chacun d’entre nous. Alors si en plus, il nous permet de garder la santé, on aurait tort de ne pas l’utiliser ? Pourquoi ne pas combiner l’utilité du vélo lors de nos déplacements quotidiens à son action bénéfique pour notre santé ?

Bouger c’est bon pour la santé

Quotidiennement, on peut voir sur nos écrans de télévision des messages tels que «Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière». En effet, des études ont montré que le fait de pratiquer une activité physique au moins trente minutes par jour aide à prévenir ou à lutter contre les maladies liées à nos habitudes alimentaires. Le vélo apparaît donc comme la solution la plus adaptée pour pratiquer une activité physique et de plus, il te permettra d’apprécier différemment l’environnement dans lequel tu évolues, puisque tu verras ta ville sous un nouvel angle. Alors préserve ta santé, sors ton vélo et ose prendre l’air !

L’impact des voitures sur l’environnement n’est un secret pour personne. Une bonne raison pour se mettre au vélo et prendre ses responsabilités pour la sauvegarde de notre planète. Dans les villes, de plus en plus de pistes cyclables sont aménagées pour faciliter le déplacement du nombre croissant de cyclistes. Aller au travail à vélo n’est plus réservé aux soixante-huitards barbus vêtus de longs pulls déformés. De nos jours, chercher des solutions pour protéger l’environnement est devenu une nécessité dont beaucoup sont conscients, quel que soit leur âge. La tendance est à l’écologie et au développement durable aussi bien chez les cadres que chez les lycéens.

S’acheter un vélo pour un environnement sain

S’acheter un vélo ne signifie pas renoncer complètement à sa voiture bien que certains optent même pour cette solution radicale afin de réduire les effets négatifs sur l’environnement. De nombreux petits trajets peuvent être effectués à bicyclette. Si la voiture est indispensable pour faire les courses de la semaine au supermarché, le vélo est lui idéal pour aller à la boulangerie du quartier ou au bar-tabac acheter des timbres. Plus besoin ainsi de chercher un parking pendant une éternité ! C’est plus rapide qu’à pied et non seulement on fait quelque chose pour l’environnement, mais en plus avec un peu de chance on perd quelques kilos superflus et on reste en forme.

Le vélo, la meilleure solution pour l’environnement

Le vélo est le moyen de transport qui respecte le mieux notre environnement. La tendance est au modèle haut de gamme allant du vélo sportif au vélo électrique. Le cycliste avisé fait bien de s’acheter une bicyclette de qualité et de choisir le modèle parfaitement adapté à ses besoins. À quoi servirait un VTT pour des déplacements urbains ? Attention aux vélos d’occasion ! À moins de vraiment bien s’y connaître, mieux vaut profiter de l’expérience de professionnels et du service après-vente. Avec un bon vélo, la protection de l’environnement devient un jeu d’enfant. On a même envie de s’en servir le week-end pour les sorties entre amis.

Voici un film qui devrait plaire aux fans de vélo dans notre genre. Il s’agit de « Premium Rush » film réalisé par David Koepp avec le talentueux Joseph Gordon-Levitt et Michael Shannon dans les rôles du coursier casse cou et de l’inspecteur véreux . Un des acteurs principaux pourrait aussi être le magnifique vélo fixie Affinity Metropolitan, de la marque Affinity Cycles.

Dans les rues de Manhattan, les messagers à vélo roulent à toute vitesse à travers les obstacles, les voitures et les piétons. Pour Wilee, (Joseph Gordon-Levitt donc) ce travail est un rush d’adrénaline constant qui lui plaît bien. Mais lorsqu’une étudiante chinoise l’engage pour porter une enveloppe dans Chinatown avant 19h le jour même, un policier malhonnête tente de l’intercepter pour en récupérer le contenu. Wilee devra redoubler d’inventivité de prendre de nombreux risques afin d’accomplir sa tâche. Il ne pourra y parvenir qu’avec l’aide de sa petite amie Vanessa, qui ne veut plus lui parler, et des autres messagers à vélo de la ville.

Durant le tournage d’une scène à vélo, Joseph Gordon-Levitt n’a pas pu s’arrêter à temps et a fini sa course dans la vitre arrière d’un taxi new-yorkais. Il est alors blessé au bras et s’en sort avec 31 points de suture. L’acteur n’a cependant pas réalisé lui-même toutes les cascades. Le trialiste VTT professionnel britannique Danny MacAskill a beaucoup participé au film.

C’est décidé, aux prochaines vacances on laisse la voiture à la maison et on part tous à vélo. Une semaine ou deux de rando vélo promettent des vacances que tout le monde attend avec impatience. Dans la phase de préparation de la rando vélo, chacun contrôle son propre vélo : les pneus sont bien gonflés, les freins fonctionnent impeccablement et les sacoches sont déjà montées sur le porte-bagage. Il reste encore à définir l’itinéraire et le nombre de kilomètres à faire chaque jour. Pour une rando vélo en famille mieux vaut prévoir des distances pas trop longues et arriver au but sans se stresser. Le plus jeune aura sa place dans la remorque enfant et on se demande si le chien pourrait venir aussi en se faisant tout petit.

La rando vélo, découvrir son pays

Quel bonheur de découvrir les plus beaux paysages de France en parcourant les petites routes de campagne ! La rando vélo, bien mieux que le circuit touristique en voiture, offre la chance de découvrir une région dans tous ses détails. Parti assez tôt le matin, on arrive vers midi dans un petit village pittoresque et on déjeune dans la bonne humeur à la terrasse du seul café-restaurant. Encore 2 heures à rouler et on s’arrête au bord d’une rivière pour monter la tente au camping municipal. Les enfants iront se baigner dans la rivière ou faire du canoë pendant que les adultes discuteront des prochaines étapes de la rando vélo.

L’équipement pour la rando vélo

L’équipement pour une rando vélo est tout aussi important que le choix de l’itinéraire. Attention aux remorques à vélo pour enfant trop bon marché ! Pour une rando vélo en famille, la remorque devra être résistante et apporter le confort nécessaire à l’enfant. Un porte-carte peut s’avérer très pratique et évite de devoir s’arrêter à presque chaque carrefour. Ne surtout pas oublier le kit de réparation et la trousse de secours, car même si personne n’a envie d’en avoir besoin, il est toujours rassurant de les savoir là. Les vêtements de pluie, veste et pantalon étanches sont également indispensables, quelle que soit la saison.

Relier la Bretagne à la Chine à vélo ou découvrir le continent américain sur deux roues ? L’aventure à vélo de trekking te tente, mais il te manque le temps. Pas besoin de faire un tour du monde, une randonnée de quelques jours, de temps en temps, apporte le dépaysement voulu. Et puis, en t’entraînant régulièrement sur les routes et chemins de France, tu seras en forme pour faire un plus long voyage quand le moment viendra. Il est même des familles qui partent sur un vélo de trekking pour plusieurs semaines avec les enfants, le chien et tout le matériel de camping. Dans ce cas bien sûr une remorque s’impose.

Le vélo de trekking, choisir la qualité

Quel que soit l’itinéraire choisi, le vélo de trekking doit être robuste. Le confort de la selle joue également un rôle dans le choix du modèle. N’oublie pas que tu y passeras plusieurs heures par jour. Certains modèles sont adaptés aux paysages montagneux, d’autres sont conçus pour transporter des charges importantes. De la qualité du vélo de trekking dépendra en grande partie la qualité de la randonnée. Quand on peut éviter les courbatures, on le fait ! Ton deux-roues doit être agréable à rouler, même chargé comme un baudet et il doit tenir la route même sur un terrain quelque peu accidenté. Enfin, pense à contrôler les freins et l’éclairage avant de partir.

Le vélo de trekking, ne pas perde la boussole

Moyen de transport écologique et économique, le vélo de trekking séduit de plus en plus de cyclistes. Se lançant sur les petites routes et les chemins de campagne, certains n’ont malheureusement pas un sens de l’orientation très développé. Deux solutions pour eux s’ils veulent quand même jouir du plaisir d’un circuit à vélo de trekking : soit ils partent avec d’autres qui savent mieux retrouver leur route qu’eux, soit ils s’achètent un bon GPS. Non seulement ce petit appareil génial permet de préparer sa route, mais il donne les coordonnées latitude-longitude pour trouver où on est sur une carte. Emporter une carte papier et une boussole est quand même une bonne idée. Il est toujours rassurant d’avoir plusieurs cordes à son arc.

Pour contrer la présence des vélos électriques sur le marché, certaines start-ups ont mis au point des idées assez novatrices permettant de transformer n’importe quel vélo en vélo électrique. On assiste ici à une vraie révolution qui va totalement bouleverser le marché des vélos électriques.

Comment votre vélo peut devenir électrique ?

Les roues de vélo électriques vont remplacer la roue arrière de votre vélo. Elles sont compatibles avec tous les cycles : Vélo de ville, vélo de course, VTT, … Elles sont équipées d’un moteur afin d’offrir une assistance au pédalage.
L’innovation par rapport aux vélos électriques réside dans le fait que l’utilisateur ne doit activer aucune fonction pour que la roue se mette en marche car les senseurs, capteurs destinés à transformer l’énergie physique du cycliste en signal électrique, s’en chargent en détectant en fonction du terrain si le cycliste a besoin d’aide.

La batterie au lithium pour les nomades

Ces roues intelligentes permettent de transformer n’importe quelle bicyclette en vélo électrique. Parmi celles-ci, on citera le produit de la marque Superpedestrian nommé « La roue de Copenhague ». Ce projet est conçu par des ingénieurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology) et est soutenue financièrement par la capitale danoise. Cette roue est équipée d’une batterie au lithium qui récupère l’énergie du cycliste lorsque celui-ci est en pente, en phase de freinage ou rétro pédale pour se recharger.

Le moteur électrique auto-rechargeable

La roue intelligente « Smart Wheel » mise au point par la start-up FlyKly est équipée d’un petit moteur qui fonctionne à l’aide d’une batterie électrique ainsi que d’une série de senseurs. Elle se recharge en 3 heures mais également lors du pédalage et offre une assistance électrique au pédalage pendant 50 km.

Des roues qui permettent de resté connecter

Ces roues sont connectées en Bluetooth à votre smartphone via des applications qui permettent de les contrôler. Ces applications permettent de définir une vitesse de croisière : lorsque le cycliste fournit son effort, les senseurs et l’application, qui permet de personnaliser le vélo, vont mesurer chaque foulée de celui-ci afin de lui fournir une poussée lorsque cela est nécessaire. Certains modèles de roues intelligentes permettent également de verrouiller le vélo à distance ou encore de le tracker en cas de disparition via une puce GPS intégrée.

La plus grande vélo-route de France!

Certains se demandent souvent comment combiner vélo et tourisme maritime? Et bien il semble que la solution ait été trouvée dans l´ouest de la France où la Vélodyssée a été mise en place depuis le 3 juin 2012. Véritable autoroute des mers dédiée aux férus de la petite reine, la Vélodyssée relie le Finistère au Pays basque à travers plus de 1200km de nature à couper le souffle. De Roscoff à Nantes, de La Rochelle à Hendaye, prenez un grand bol d´air marin sur votre fidèle destrier à deux roues. Figure de proue du récent développement du tourisme à vélo, la Vélodyssée est la plus longue véloroute de France et elle reunit à elle seule 10 départements et 3 régions.

Entre nature et sensations

L´enjeu est évidemment de montrer qu´une autre forme de tourisme est possible, plus sauvage, plus proche de l´environnement, plus libre et surtout plus fun! Effectivement, si elle ravit les cyclistes à la recherche de calme et d´air pur, la vélodyssée s´offre également aux plus téméraires amateurs de sensations. Ils pourront troquer leur vélo contre une planche de surf et profiter des vagues dans les plus beaux spots parmi lesquels Lacanau, Biscarosse et Hossegor. De Royan à Biarritz, “Surf N Bike” propose des excursions d´une semaine alternant vélo et surf. De quoi réjouir les aficionados des deux sports!

Essayer le tourisme à vélo cet été

A cheval entre terre et mer, la Vélodyssée devrait donc faire bien des heureux pour ces vacances. La beauté des sites qu´elle croise, le respect de l´environnement qu´elle prône et la bonne dose d´adrénaline qu´elle propose ne peut qu´encourager les cyclistes en herbe et les plus confirmés à venir y faire un tour. C´est noté!

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